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mercredi 10 septembre 2014
samedi 29 mars 2014
PETITS SOLDATS DE STRASBOURG HUSSARDS DE LA MORT 1792
Hussards de la Mort 1792 et la Révolution Française.
Sources :
L'armée de Napoléon - planches de J.Domange - Le livre chez vous
Les Hussards Français - Tome 5 - Officiers et Soldats - Histoire et Collection
Site Images de Soldats - André Jouineau
Les hussards de la Mort (1792-1793) - Article de A.Jouineau dans Figurines magazine
Article web blog de SEHRI - Jérôme Croyet
Petits soldats de carte auteur inconnu XIX.
Collection A.Berizzi.
Strasbourg réserve encore bien des surprises aux curieux de mon espèce. Toujours dans l'attente du nouveau "coup" à ne pas manquer. Avec le temps bien entendu le bouche à oreille fonctionne à merveille et il n'est pas rare de recevoir un coup de téléphone, qui mette l'eau à la bouche. Comme il y a quelques jours. Un petit carnet aux pages jaunies, datant certainement de la deuxième moitié du XIX siècle. Un carnet de collectionneur qui a rassemblé quelques études de Petits Soldats de Strasbourg. Études fabuleuses comme ces deux Hussards de la Mort, superbement réalisés dans la pure veine de la grande époque. Un doute s'installe, car aucune trace de l'auteur. Je pense à Boersch, bien entendu… même si je n'ose y croire.
"Le 12 juin 1792 était autorisée par décret la formation de deux compagnies de Hussards de la Mort qui fut effective en juillet de la même année. A l'automne 1792 la France vivait sous l'autorité de la Commune de Paris. Les prisons regorgeaient de prêtres et d'aristocrates. La ferveur révolutionnaire était à son paroxysme. L'Assemblée Nationale forçait la main au roi "constitutionnel" Louis XVI et déclarait la guerre à l'Autriche. Par des lois, elle autorisait certains citoyens patriotes à lever plusieurs corps de volontaires qui allaient porter la bonne parole de la Révolution. Parmi eux, les volontaires des Hussards de la Mort étaient pour la plupart issus des riches familles du nord de la France. Le régiment prestigieux des Hussards de la Mort fut la réponse "à la Française" aux menaces de Monsieur de Brunswick et de ses "Totenköpfe" qui avaient promis de raser Paris. Le 20 septembre 1792, ils firent grande impression à la bataille de Valmy lors de laquelle ils obligèrent aux côtés de l'armée de Kellerman l'infanterie prussienne à reculer. Le 5 décembre 1792, au sein de l'armée de la Moselle, ils s'emparaient de Sarrebourg mais reculaient à leur tour face aux Prussiens. Son effectif réduit à sa plus simple expression, l'escadron des Hussards de la Mort prenait ses quartiers d'hiver à Sarrelouis puis rejoignait Thionville, Toul et Phalsbourg où le 13 mars 1793 il recevait l'ordre de rejoindre Fontainebleau. A Nancy le capitaine Bonnet qui dirigeait l'escadron était mis aux arrêts pour incapacité et le 11 avril 1793, les Hussards de la Mort rejoignaient Fontainebleau. A Paris, la Convention Nationale qui essayait de reprendre les choses en main, décidait de réorganiser l'armée et surtout de simplifier cette organisation en regroupant, fusionnant, amalgamant… Au début de l'année 1793 les formations de volontaires venaient renforcer les effectifs des régiments réguliers sur ordre du Comité de Salut Public. C'est ainsi que le 5 mars 1793, la Convention décidait la création du 14ème régiment de Chasseurs à cheval avec les rescapés des deux compagnies de Hussards de la Mort". (Source Internet)
"28 juillet 1792 l'uniforme des hussards de la
mort faisait l'objet d'un décret. Leur signe de reconnaissance : deux os
croisés surmontés d'une tête de mort avait vraisemblablement été emprunté au
5ème régiment de hussards de l'armée prussienne. Pelisse et sabretache étaient
toutes deux ornées du terrifiant symbole. Les hussards portaient sur le dolman,
une pelisse noire bordée de fourrure de même couleur dotée d'une doublure
blanche et de cordons mêlés noir et blanc. Tous les galonnages étaient noirs et
blancs, les boutons en étain. Les cinq rangées de boutons étaient une
innovation car à l'époque, les uniformes des régiments réguliers de hussards ne
comportaient que trois rangées. Le pantalon de cheval était noir et boutonné
sur les côtés. Les bottes de cuir noir étaient dotées d'éperons acier. Le
baudrier de cuir blanchi soutenait une giberne noire, il était relié au
baudrier porte-mousqueton par un bouton de baudrier cuivre. Ceinturon et
bélières de cuir blanchi accompagnaient la sabretache et un fourreau de cuir
noir garni d'acier qui accueillait un sabre à poignée de même métal et dragonne
blanche. Les Hussards de la Mort étaient coiffés d'un mirliton noir qui se
présentait comme suit : Cocarde tricolore blanche au centre puis bleue et rouge
à l'extérieur, passepoilée de blanc. Plumet noir et blanc en bas, flamme de
même couleur bordée de blanc portée enroulée autour du shako en campagne ou
tombante en parade, pompon de flamme blanc et bonnet orné d'un cordon tressé
blanc. Des inscriptions telles que " la liberté ou la mort"
figuraient brodées sur la flamme renforçant ainsi le caractère terrifiant du
corps". (Source Internet)
Le corps se composait d'un état-major qui comprenait 1 chef d'escadron, 1 quartier-maitre trésorier du rang de maréchal des logis, 1 adjudant sous-officier, 1 aumônier, 1 piqueur, 1 maréchal-ferrant expert, 1 maître tailleur, 1 maître-bottier, 1 maître-sellier.
Collection A.Berizzi.
Strasbourg réserve encore bien des surprises aux curieux de mon espèce. Toujours dans l'attente du nouveau "coup" à ne pas manquer. Avec le temps bien entendu le bouche à oreille fonctionne à merveille et il n'est pas rare de recevoir un coup de téléphone, qui mette l'eau à la bouche. Comme il y a quelques jours. Un petit carnet aux pages jaunies, datant certainement de la deuxième moitié du XIX siècle. Un carnet de collectionneur qui a rassemblé quelques études de Petits Soldats de Strasbourg. Études fabuleuses comme ces deux Hussards de la Mort, superbement réalisés dans la pure veine de la grande époque. Un doute s'installe, car aucune trace de l'auteur. Je pense à Boersch, bien entendu… même si je n'ose y croire.
"Le 12 juin 1792 était autorisée par décret la formation de deux compagnies de Hussards de la Mort qui fut effective en juillet de la même année. A l'automne 1792 la France vivait sous l'autorité de la Commune de Paris. Les prisons regorgeaient de prêtres et d'aristocrates. La ferveur révolutionnaire était à son paroxysme. L'Assemblée Nationale forçait la main au roi "constitutionnel" Louis XVI et déclarait la guerre à l'Autriche. Par des lois, elle autorisait certains citoyens patriotes à lever plusieurs corps de volontaires qui allaient porter la bonne parole de la Révolution. Parmi eux, les volontaires des Hussards de la Mort étaient pour la plupart issus des riches familles du nord de la France. Le régiment prestigieux des Hussards de la Mort fut la réponse "à la Française" aux menaces de Monsieur de Brunswick et de ses "Totenköpfe" qui avaient promis de raser Paris. Le 20 septembre 1792, ils firent grande impression à la bataille de Valmy lors de laquelle ils obligèrent aux côtés de l'armée de Kellerman l'infanterie prussienne à reculer. Le 5 décembre 1792, au sein de l'armée de la Moselle, ils s'emparaient de Sarrebourg mais reculaient à leur tour face aux Prussiens. Son effectif réduit à sa plus simple expression, l'escadron des Hussards de la Mort prenait ses quartiers d'hiver à Sarrelouis puis rejoignait Thionville, Toul et Phalsbourg où le 13 mars 1793 il recevait l'ordre de rejoindre Fontainebleau. A Nancy le capitaine Bonnet qui dirigeait l'escadron était mis aux arrêts pour incapacité et le 11 avril 1793, les Hussards de la Mort rejoignaient Fontainebleau. A Paris, la Convention Nationale qui essayait de reprendre les choses en main, décidait de réorganiser l'armée et surtout de simplifier cette organisation en regroupant, fusionnant, amalgamant… Au début de l'année 1793 les formations de volontaires venaient renforcer les effectifs des régiments réguliers sur ordre du Comité de Salut Public. C'est ainsi que le 5 mars 1793, la Convention décidait la création du 14ème régiment de Chasseurs à cheval avec les rescapés des deux compagnies de Hussards de la Mort". (Source Internet)
Hussards de la Mort - Officier - Petits Soldats de Strasbourg. Auteur inconnu XIX - Collection particulière A.Berizzi |
Hussards de la Mort - Petits Soldats de Strasbourg. Auteur inconnu XIX - Collection particulière A.Berizzi |
Hussards de la Mort - Petits Soldats de Strasbourg. D'aprés Th.Carl - Collection Alfons Canovas |
Chaque compagnie était composée de : 1 capitaine, 1 lieutenant, 1 sous-lieutenant, 1 maréchal des logis chef, 4 maréchaux des logis, 1 brigadier-fourrier, 8 brigadiers, 105 hussards et 1 trompette.
Hussards de la Mort - Planche de André Jouineau |
Hussards de la Mort - Planche de André Jouineau
|
Hussards de la Mort - Aquarelle de René Louis |
Sources :
L'armée de Napoléon - planches de J.Domange - Le livre chez vous
Les Hussards Français - Tome 5 - Officiers et Soldats - Histoire et Collection
Site Images de Soldats - André Jouineau
Les hussards de la Mort (1792-1793) - Article de A.Jouineau dans Figurines magazine
Article web blog de SEHRI - Jérôme Croyet
dimanche 16 février 2014
GARDE IMPERIALE TIRAILLEURS GRENADIERS 1809 PREMIER EMPIRE
Garde impériale Tirailleurs Grenadiers de la Jeune Garde 1809.
Petits soldats de carte de F.J. Schmidt.
Collection privée Charlet.
Nous avons déjà eu l'occasion de parler de F.J. Schmidt dans un article précédent. Et de la vente de 1972 qui voyait la collection complète partir en lots. Nous avons eu l'occasion de rencontrer depuis quelques lots épars ici et là, lors de rencontres collectionneurs ou musées. En voici donc une nouvelle.
Régiment formé en 1809 pour la "Jeune Garde" et augmenté de cinq autres en 1811. Les lots de vente 68, 69, 70, 71 donnent la composition exacte de cette unité.
Collection privée Charlet.
Garde impériale Tirailleurs Grenadiers de la Jeune Garde 1809. Coll.Privée.Charlet |
Nous avons déjà eu l'occasion de parler de F.J. Schmidt dans un article précédent. Et de la vente de 1972 qui voyait la collection complète partir en lots. Nous avons eu l'occasion de rencontrer depuis quelques lots épars ici et là, lors de rencontres collectionneurs ou musées. En voici donc une nouvelle.
Garde impériale Tirailleurs Grenadiers de la Jeune Garde 1809. Coll.Privée.Charlet |
Description de l'uniforme : Habit-veste de drap bleu de roi, coupé à
l'uniforme de l'infanterie légère; revers de même drap en pointes, liséré blanc
avec 7 petits boutons, collet rouge avec liseré bleu. Parements rouges en pointes, liseré blanc avec
deux boutons. Doublure des basques en serge écarlate. Veste et pantalon en
tricot blanc. Guêtres noires en forme de botte. Baudrier et
porte-giberne unis, sabre-briquet ordinaire. Schako orné de chevrons en v, en galons blanc
et d'un cordon rouge. Le sergent porte le schako à ganse en v, de galons rouges
coupé de deux lignes liserées d'or à deux lignes de chaque bord, un cordon or
et laine rouge.
samedi 4 janvier 2014
LA GRANDE PARADE MILITAIRE DE LOUIS IX DE HESSE-DARMSTADT
Régiment "leibgrenadier garde" de Louis IX de Hesse-Darmstadt - XVIIIe Siècle.
Petits soldats de carte d'après des dessins de Francis Quiquerez.
Collection du Musée du pays de Hanau (Bouxwiller 67)
Collection du Musée du pays de Hanau (Bouxwiller 67)
Le Musée du pays de Hanau à Bouxwiller, à décidé d'éditer, pour accompagner la présentation in-situ de la grande parade militaire de Louis IX de Hesse-Darmstadt au château de Pirmasens, 4 planches de figurines militaires dans la plus pure tradition des petits soldats de Strasbourg, vendues à la boutique du musée. Dessinés et mises en couleur par Francis Quiquerez, dont nous avons déjà eu l'occasion de présenter quelques unes de ses pièces , ces soldats représentent les principaux personnes que l'on peut retrouver sur le tableau de Michel Petzinger (1755-1833), "Schloss Pirmasens mit Parade" (Collection Archives de la ville de Pirmasens).
Pour accompagner les planches, une petite documentation donne quelques indications sur l'histoire, l'impact et la composition de cette parade :
"Louis IX est né à Darmstadt le 15 décembre 1719. Il est le fils aîné du landgrave de Hesse-Darmstadt Louis VIII (1691-1768) et de Charlotte Christine Madeleine Jeanne (1700-1726), fille de Jean René III, de qui il héritera le titre de comte de Hesse-Hanau-Lichtenberg. Âgé de 7 ans à la mort de sa mère, Louis rejoint Bouxwiller avec son frère où ils passent d’heureuses années. Ils fréquentent ensuite l’Université de Strasbourg où ils suivent les cours du célèbre historien Jean Daniel Schoepflin et occupent la résidence des Hanau construite par leur grand-père Jean René III. Le jeune Louis IX profite de ce séjour pour assister aussi souvent que possible aux exercices de parade des garnisons de Strasbourg, composées à l‘époque essentiellement de régiments allemands à la solde de Louis XV. À l’âge de 21 ans, il devient le nouveau Prince héritier de Hesse-Darmstadt, comte de Hanau-Lichtenberg. C’est en 1741 que Louis IX, passionné par la vie militaire, met sur pied un bataillon de grenadiers à la mode prussienne à Pirmasens. En effet, sa passion pour la chose militaire ne peut s’exercer qu’à l’extérieur du territoire français, car l’Alsace relève depuis 1648 de la souveraineté du roi de France. C’est donc à Pirmasens, qui fait partie du comté de Hanau-Lichtenberg, qu’il établit une véritable colonie militaire de 2400 hommes auxquels il fait pratiquer l’art militaire selon les règles établies sous Frédéric le Grand (1740-1786) père de la légende prussienne originelle.
"Schloss Pirmasens mit Parade" Michel Petsinger. (Collection Archives de la ville de Pirmasens). |
RÉGIMENT « LEIBGRENADIER GARDE » de Louis IX de Hesse-Darmstadt - XVIIIe Siècle |
RÉGIMENT « LEIBGRENADIER GARDE » de Louis IX de Hesse-Darmstadt - XVIIIe Siècle
Dessins de Francis Quiquerez / © Musée du Pays de Hanau
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RÉGIMENT « LEIBGRENADIER GARDE » de Louis IX de Hesse-Darmstadt - XVIIIe Siècle |
L’art militaire à l’époque de Louis IX
Louis IX attache beaucoup d’importance aux beaux uniformes et aux différentes formes de l’exercice et du maniement d’armes au rythme des tambours et des musiques militaires. Il a fait peindre sur des cartons pouvant mesurer jusqu’à 1m50 des militaires de toutes les armées européennes. Grâce à cette passion, les régiments de Louis IX sont parmi les plus documentés de l’époque. Outre sa passion pour les uniformes dont il a fait dessiner de nombreux essais par le peintre militaire attitré à Pirmasens Michel Petzinger (1755-1833), Louis IX est un virtuose du tambour et a composé plus de 90 000 pièces de musique militaire. À Pirmasens, les Parades militaires du Leibgrenadier et du Régiment Landgraf, régiments créés par Louis IX, ont surtout un caractère esthétique et sont comparables à une sorte de corps de ballet militaire."
La cavalerie se compose dans l’ordre de : 1. Un Lieutenant à cheval - 2. Un groupe de 12 Hussards avec à leur droite le Wachtmeister - 3. Le Major, le plus haut gradé, portant le tricorne (dernier personnage à cheval) - 4. Un groupe de 20 Sapeurs ; ils portent des haches pour couper le bois afin de fabriquer des fortifications mais en cas d’attaque, ils les utilisent pour briser les défenses ennemies - 5. Un officier (lieutenant d’infanterie) qui tient l’esponton (sorte de lance) et de part et d’autre un peu en arrière : deux autres officiers avec des espontons - 6. Les 10 Porte-drapeaux : il y a 9 drapeaux rouges (chacun correspondant à une compagnie) et un drapeau blanc (le drapeau du souverain) - 7. Trois rangées de 49 joueurs de tambour : le tambour se porte toujours incliné de côté ; au bout de la rangée à leur droite : il y a 49 joueurs de fifres. - 8. Trois rangs de grenadiers (48 soldats et 3 sous-officiers = une demie compagnie : les autres suivent mais sont hors champ du tableau) - 9. A l’arrière seul, un officier (Lieutenant) - 10. Au premier plan et au centre de la composition, le Profos ; c’est le surveillant qui surveille la manoeuvre et punit les inattentifs.
Sur le tableau, on peut voir la garde du corps (cavalerie), petite unité qui accompagne le landgrave partout, la première compagnie et le Leibgarde Grenadier Regiment :
Flutiste - Dessins de Francis Quiquerez / © Musée du Pays de Hanau |
Grenadier - Dessins de Francis Quiquerez / © Musée du Pays de Hanau |
Lieutenant Grenadier - Dessins de Francis Quiquerez / © Musée du Pays de Hanau |
Lieutenant des Hussards - Dessins de Francis Quiquerez / © Musée du Pays de Hanau |
Major - Dessins de Francis Quiquerez / © Musée du Pays de Hanau |
Drapeau souverain - Dessins de Francis Quiquerez / © Musée du Pays de Hanau |
Porte Drapeau - Dessins de Francis Quiquerez / © Musée du Pays de Hanau |
Sapeur - Dessins de Francis Quiquerez / © Musée du Pays de Hanau |
Hussard - Dessins de Francis Quiquerez / © Musée du Pays de Hanau |
Tambour - Dessins de Francis Quiquerez / © Musée du Pays de Hanau |
Les planches sont en vente à la boutique du musée, au prix de 3 euros pièce, et lot des 4 planches avec la notice explicative à 10,50 euros. Elles sont imprimées sur une carte rigide prêtes a être découpées et montées sur socle bois.
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